Coup d’humeur : survivre au crash de son disque dur

Ah, le bonheur de travailler sur un ordinateur que vous utilisez également en tant que PC perso.
En effet, une seule machine pour tout faire, tout stocker, tout mémoriser… vous voyez où je veux en venir ?

Oui, je veux parler de ce même ordinateur que j’ai eu le plaisir (mouais, on va dire ça comme ça) d’utiliser pendant quelques années, que ce soit pour mon boulot, pour Top For Phone (non, ça n’est pas mon boulot, juste une passion) ou encore ma vie « perso » (photos de vacances, etc.).

Et que dire de ce plus de ce (in)fidèle compagnon informatique qui, au grès de pannes successives décide à un moment de « crasher » votre disque dur ?
Oui, crasher, purement et simplement, sans signe préventif… rendant ainsi inaccessible sont contenu.

Alors, vous vous dites à ce moment là : « pas grave, j’ai fait une copie de sauvegarde ».
Oui, tout comme moi… qui suis un très mauvais élève et qui fait au mieux une copie sur un disque externe 1 fois par an.

Et forcément, à quand remonte la dernière copie ? A quelque chose comme 364 jours, et oui !
Conclusion, un disque dur HS qui, forcément, contient des données très utiles que j’aimerai bien récupérer.

A ce stade, il n’y a pas 36 solutions :
– soit vous allumez un cierge au Saint Patron des Informaticiens en espérant qu’il sauve miraculeusement votre disque dur (non, ça ne marche pas).
– soit vous allez voir un centre spécialisé qui va travailler pour vous sur le fait de récupérer des données perdues ! Analyse de la panne, devis, réparation… c’est son boulot, et il est bon là-dedans.

Vous voilà donc sauvé (et certes, délesté de quelques centaines d’euros, mais ça en valait la peine… et le coût) et vous pouvez affronter de nouveau la fatidique loi de Murphy tout en prenant garde, cette fois, à sauvegarder régulièrement vos données…
Ce sans quoi vous seriez obligé de recourir de nouveau au service d’un spécialiste.